Alexander Enrique Granko Arteaga

Promoted to the rank of lieutenant colonel of the Bolivarian National Guard on 1 July 2020.

Head (Director) of the Special Affairs Division (DAE) of the Directorate-General of Military Counter-Intelligence (Dirección General de Contrainteligencia Militar (DGCIM)) since 2017. Head of Office of DGCIM’s Boleita detention centre since 29 Aug 2022. From 2017 to 2022 he ordered, supervised and directly participated in arbitrary detentions, short-term enforced disappearances, torture, including sexual violence, and other cruel, inhuman or degrading treatment. Promoted to the rank of lieutenant colonel of the Bolivarian National Guard on 1 Jul 2020. Responsible for serious human rights violations, including torture, the use of excessive force causing death and injury and the ill-treatment of detainees in DGCIM facilities committed by himself and by officials under his command. Also responsible for the repression of civil society by members of DGCIM under his command, as well as being directly involved in such repression. Linked to the death of Captain Acosta Arévalo.

Promoted to the rank of lieutenant colonel of the Bolivarian National Guard on 1 July 2020.

Promoted to the rank of lieutenant colonel of the Bolivarian National Guard on 1 July 2020.

Chef (directeur) de la division des affaires spéciales de la direction générale du contre-renseignement militaire (Dirección General de Contrainteligencia Militar - DGCIM) depuis 2017. Chef de bureau du centre de détention de la DGCIM à Boleita depuis le 29 août 2022. De 2017 à 2022, il a ordonné et supervisé des détentions arbitraires, des disparitions forcées de courte durée, des actes de torture, y compris des violences sexuelles, et d’autres traitements cruels, inhumains ou dégradants, et y a directement participé. Promu au rang de lieutenant-colonel de la Garde nationale bolivarienne le 1er juillet 2020. Responsable de violations graves des droits de l’homme, y compris la torture, l’usage excessif de la force entraînant la mort et des blessures et les mauvais traitements infligés à des détenus dans les locaux de la DGCIM par lui-même et par des fonctionnaires sous son commandement. Également responsable de la répression de la société civile exercée par des membres de la DGCIM sous son commandement, et impliqué directement dans cette répression. Lié au décès du capitaine Acosta Arévalo.

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